EXTRAITS DE PRESSE
SINON LA TRANSPARENCE Editions de l’Amandier 2007 (réédition).
SUR LE LIVRE
"Une parole qui se manifeste surtout par sa puissance. Parole qui déboule, éboule, corrode, et qui dépouille aussi, travaillée par ce mouvement de dénudation ontologique qui la constitue" "une des oeuvres poétiques les plus vives, les plus belles de ce temps" Philippe Le Guillou
"... cette parole qui hésite sans cesse entre la loquacité de la mémoire et le silence de l'oubli... Volontaires ou générés, les mots de Claude Ber se closent sur eux-mêmes. A nous de les ouvrir malgré leur fragilité qui fait rempart" Anne-Marie Mitchell-Sambroni, Le Provençal.
"Les deux grands véhicules utilisés par Claude Ber pour assurer la continuité dont je parlais plus haut sont indifféremment la page et la scène. La profération ou le chuchotement. Il faut bien reconnaître que ses écrits ( poèmes ?) fonctionnent comme des oratorios et, inversement, que ses textes théâtralisés ( monologues évidemment) ont de furieux accents de chose écrite... Il s'agit, on l'aura compris, d'une haute tentative de réactivation du langage "face à la désertion du verbe..." Jacques Lovichi, La Marseillaise.
Sur le spectacle ESPACE-VOUS créé à partir du livre
"En Frédérique Wolf-Michaux, dont les silences mêmes, les regards et les respirations sont une musique, autour d'elle et pour elle, se mêlent (...) les notes de Giovanna Marini et celles de Georges Aperghis, les propres inspirations musicales de la chanteuse, le texte superbe de Claude BER (...) On pense à la phrase d'André Breton: "La beauté sera convulsive, explosante fixe..." (...) Une histoire qui mêle la plus troublante présence à la plus troublante absence, le rêve le plus fou et la logique la plus rigoureuse..." La Marseillaise
"Un spectacle exigeant sans doute, qui ne se livre pas facilement certes, mais qui reste passionnant de bout en bout" Jacques Corot, Le Provençal.
" Tel est Espace-Vous, voué au plaisir du texte, plaisir charnel et acharné à dire "la déchirure exacte d'entre nous et nous", à faire rendre gorge aux mots du réel qu'il récèle. Pierre Murat, L'Eveil.
SINON LA TRANSPARENCE Editions de l’Amandier 2007 (réédition).
SUR LE LIVRE
"Une parole qui se manifeste surtout par sa puissance. Parole qui déboule, éboule, corrode, et qui dépouille aussi, travaillée par ce mouvement de dénudation ontologique qui la constitue" "une des oeuvres poétiques les plus vives, les plus belles de ce temps" Philippe Le Guillou
"... cette parole qui hésite sans cesse entre la loquacité de la mémoire et le silence de l'oubli... Volontaires ou générés, les mots de Claude Ber se closent sur eux-mêmes. A nous de les ouvrir malgré leur fragilité qui fait rempart" Anne-Marie Mitchell-Sambroni, Le Provençal.
"Les deux grands véhicules utilisés par Claude Ber pour assurer la continuité dont je parlais plus haut sont indifféremment la page et la scène. La profération ou le chuchotement. Il faut bien reconnaître que ses écrits ( poèmes ?) fonctionnent comme des oratorios et, inversement, que ses textes théâtralisés ( monologues évidemment) ont de furieux accents de chose écrite... Il s'agit, on l'aura compris, d'une haute tentative de réactivation du langage "face à la désertion du verbe..." Jacques Lovichi, La Marseillaise.
Sur le spectacle ESPACE-VOUS créé à partir du livre
"En Frédérique Wolf-Michaux, dont les silences mêmes, les regards et les respirations sont une musique, autour d'elle et pour elle, se mêlent (...) les notes de Giovanna Marini et celles de Georges Aperghis, les propres inspirations musicales de la chanteuse, le texte superbe de Claude BER (...) On pense à la phrase d'André Breton: "La beauté sera convulsive, explosante fixe..." (...) Une histoire qui mêle la plus troublante présence à la plus troublante absence, le rêve le plus fou et la logique la plus rigoureuse..." La Marseillaise
"Un spectacle exigeant sans doute, qui ne se livre pas facilement certes, mais qui reste passionnant de bout en bout" Jacques Corot, Le Provençal.
" Tel est Espace-Vous, voué au plaisir du texte, plaisir charnel et acharné à dire "la déchirure exacte d'entre nous et nous", à faire rendre gorge aux mots du réel qu'il récèle. Pierre Murat, L'Eveil.