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09/02/2011



L'invité du mois

HELENE SANGUINETTI

BIOBIBLIOGRAPHIE ET EXTRAITS



BIOBIBLIOGRAPHIE

HELENE SANGUINETTI
HELENE SANGUINETTI
Hélène Sanguinetti, née à Marseille en 1951,
écrit ardemment depuis toujours.
Sans jamais quitter le poème, elle répond à l'urgence de vivre et de transmettre au quotidien et "retarde" la venue au jour d'une œuvre menée longtemps dans le retrait.
Son premier livre paraît en 1999.
Claude Adelen, poète et critique, parle, pour qualifier son écriture, de «noblesse et roture du langage» et de «souveraineté radieuse» (L’Émotion concrète, Fonds Comp’Act, 2004).
Le Héros, dont plusieurs extraits ont figuré dans Le Nouveau Recueil, Rehauts, RBL, Passages à l’Act, Europe, va paraître chez Flammarion en avril 2008.

Livres parus :
Gora soli, avec des peintures d’Anna Baranek (l’attentive, janvier 2008)
Hence this cradle, bilingue, trad. Ann Cefola, Otis Books / Seismicity Éditions, Los Angeles, 2007
Alparegho, Pareil-à-rien L'ACT MEM, Fonds Comp'Act, 2005
D'ici, de ce berceau Coll. Poésie/Flammarion, 2003
De la main gauche, exploratrice Coll. Poésie/Flammarion, 1999
Et voici la chanson, Editions de l'Amandier 2012

Hélène Sanguinetti publie dans des revues françaises et américaines, et sur le Net; participe à plusieurs anthologies, des émissions radiophoniques, lectures publiques, rencontres et entretiens, en France et aux USA.
« Cher ange » est publié dans le dossier "Lettres imaginaires" du Nouveau Recueil de décembre 2007 (n°85). Un choix de textes dans le : Calendrier de la poésie francophone 2008 (Alhambra Publishing, Belgium, 2007).
On pourra retrouver un extrait d’un travail en cours, “Joug 1”, dans une prochaine livraison de la revue Rehauts (n°21, avril 2008).

Très proche de la chorégraphie contemporaine, Hélène Sanguinetti a été invitée par La Maison des Écrivains et le Festival de danse d'auteurs "Faits d'Hiver" (Janvier 2005, Paris).
Très proche de toutes les expressions plastiques, elle travaille depuis 2006 avec une artiste polonaise, Anna Baranek ( http://remue.net/spip.php?article1788). Et poursuit son compagnonnage avec les corps en mouvement (travail en cours avec la chorégraphe Muriel Piqué, Cie comme ça).

EXTRAITS

L E S M A I S O N S
Car toujours, poesia : joie horreur
Bon ! Petit Soleil et Petite-Soie sont revenus sur la pelouse glisse
l'étrange spectacle de leur amour glisse une barque revenue elle aussi
un père fourbu sans poisson, et il rentre et il dit à la
famille dans la maison "Ciel ! qu'il fera bon plus tard dans la vie !" bon !
La lampe est allumée elle respire, le plancher respire, il n'est pas tard, de
la pluie parfume la gouttière et les vitres, et personne n’a froid,
/
Maison dernier abri posé quitté, après après, de l'air et des fourmis et
autres visiteurs butés habitués, Ça sent le chocolat un chaton jeté par la
fenêtre Épargné rebondissant sur les dahlias,
Bienvenue Vie de plus tard
Bienvenue Inaccessible amour
Bienvenue à la Colère de Pleurer
Colère et joie sortis du flacon dans le ruisseau ! des bulles pour
malheureux et leurs ballots dans le chemin, des bulles et des bulles pour
Averell Dalton-rêvassant poursuivi par le shérif
/
Puis si grands arbres leur poitrine écureuil, deux chaussures reposent en
bas, sur l'ombre, Fatigue et Avide liberté reposent aussi sur le côté,
pieds nus dans l'allée un héros cherche les noms des fleurs

un nuage
un héron de fer
une fille à cheval
D'où venez-vous.........., Il cherche..........................., ne vous comprends
que sur la pointe ou dans l'encoignure de la fenêtre, Et cherche encore
poings serrés, grâce que le jour de pluie dépose ici si près de l'océan,
ne cessent pas : Penser– Espérer –Luire mieux,
/
Il donne un baiser de pluie, mange au bord de l'océan, il a vieilli et ses
chiens ont vieilli, trop pour les noyer mais les aimer encore, les faire se
coucher au pied d'une bibliothèque de rochers, et d'eau brillante
Elle vieillit et ses soeurs vieillissent,
––––––– comment t'Échapper, Petit Bourreau aux Lèvres Sucrées,
disent-elles et se souviennent : lianes, soeurs ! et de cuivre ! – comment
au frais talus en bas de la Sierra, et à l'autre Crochue,
/
poesia-visage-violet-crevé-empoisonné, Autre Bossue derrière la fenêtre
entre avec pomme si ronde et rouge et douce de caramel, mange blanche
fille crève blanche
et soudain à la Fanfare, meilleurs clairons enrubannés ?

LE HÉROS (Flammarion, avril 2008)

****************************************

Ainsi disait
en se touchant les lèvres, qui saignaient encore un peu, celle du bas saignait encore,
très peu.
De quel pays vraiment
venez-vous,
se peut-il qu'une mule
et même courageuse,
fasse tant de kilomètres
dans la brume,
consente à passer l'eau
se peut-il qu'existe une mule d'aujourd'hui, une
fille assez têtue pour passer en soulevant du ciel, en résistant aux flèches, aux flammes ?
" Mon fils a cette même lèvre
mon enfant, seul garçon !
Je suis
du pays de l'homme aux
bandelettes,
l'homme rafistolé,
il a
moitié soleil et moitié lune dans ses yeux,
oui,
il s'appelle Alparegho,
Pareil-à-rien."
Petite voix qui insiste
douce et dure
de très loin,
avec des flèches, et beaucoup d'eau
De quel pays êtes-vous, de quel pays, lequel
s'il existe ?
" Car nous n'attendons personne qui vous
ressemble même un peu "
(Quelqu'un, petits yeux,
en prenant l'air, sur sa porte)
/
Tant de manières mènent à la patience, et à l'admiration d'un coucher de soleil sur la mer.
(Oui, mou, trop patient, trop content d'admirer.)
Et langue et oeil perdent leurs bons habitants teigneux,
teigneux piquants qui font trouver.
Faut couper bien vite cette langue alors, arracher ces yeux,
bien vite faire un noeud au paquet mou paquet sanglant,
et le jeter dans la descente,
et roulera jusqu'à la mer, s'enfoncera,
disparaîtra.
/
Dans la bouche, bientôt remontent les petits êtres, plus musclés, pleins d'air large,
et de cette mer rougie,
filles et fils de nos fils et de nos filles, et arrière, arrière,
les vrais, avec des fronts bombés,
le front du père,
très haut,
avec des lignes
EN –––––––––––
———–––––––––––
————
AVANT !

ALPAREGHO, PAREIL-A-RIEN (L’Act Mem, Fonds Comp’Act, juin 2005)

****************************************




«Avez-vous déjà senti dans votre dos,
entre les deux omoplates, cette excroissance
immaculée que les anges prennent pour des
ailes ? »
Il y a dans le ventre des baleines
une chambre d'amour pour taciturnes, bègues
et enfiévrés.
À leur retour - s'ils reviennent - on ne saura rien
de leur aventure.
« Inventez », diront-ils.
/
(...) mais ici, toujours terre, du ciel, et
poussière, comme jamais!
Peu d’or dans les cuves, Patron, la construction de
l’église ajoute au bruit infernal des purificateurs,
on se lave avec le gravier remonté du fond de la
rivière, coup de pied, coup de dent et coup de langue, oui comme ça, ah, Patron! mais les femmes
d’en bas aiment l'odeur de l'espèce ténèbres et
arrachement. Leurs épaules nues se tendent dans les
barges où nous tombons, elles ont la courbe fine
d'un galet roulé du bord. Les nôtres ont caché, avant
de dormir, leurs dents au fond d’un torchon dans le
placard, puis c'est l'aube, d'un baiser lointain sur le
seuil nous accompagne un papillon tout noir, une
aile est venue dans ma poche, l'autre est pour vous,
(...)
Tant de cris arrivent jusqu'à elles, les fleurs,
tant de coups dans coeur si mince ! Elles ont
vieilli les jeunes filles, comme celle-là fut
hirondelle plongeant entre les toits, et leurs
pétales en sont gonflés. Fleurs et filles rouillées souillées mangées que terre attend.
Tu colles encore tu craques, Tonimalt, entre les
pages, la pure Véra Lodorovna Chami Ivanovitch se
pâme dans les bras d'un troufion qui mord sa langue
de comtesse, tes larmes, Cosette, brûlent l'anse du
seau, coup de canon sur la lune, un père avide dans
la nuit –– sa voix
Au jour brillant.
Bienvenue.
Gloire.
Respect, pour cela entièrement: doigts de
terre, dévoreurs de pain.
Prince qui hais les comptes, respect.
/
À celui qui
Et que j’aime
Vésuve ne cesse pas de chuchoter avec le
ciel. Du vent venu de là et du silence qui
râpe, une invasion de fourmis lentes, les
Infatigables. Qu’en vois-tu depuis ta petite
fenêtre que je ne connais pas ?
Que reste-t-il de moi dans tes poumons
quand tu plonges, suis-je air ou vide brûlant,
déjà éponge et corail, déjà douceur et
douleur, et toujours le bienvenu retour au ciel,
là, retour enfin aux yeux, aux miens ?
Les petits pains dorés fabriqués par tes
doigts, déposés par tes doigts,
sont sur la coupe, je mords, l’oranger, tes
doigts. Collés à mon nord et mon sud, plus loin
que les boucles parfumées. Plus qu’envahie. Ennoiement.

D'ICI, DE CE BERCEAU
(Flammarion, avril 2003)





———————————————— Quand ils ont vu le premier pic, ils ont crié aaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! et Chango, Fils d’Antonio-José le Capitaine, Frère d’Emilio, éclaireur, a piqué la belle boule de coton à la pointe de flèche huilée depuis 3 jours, il a tendu son arc, tendu, et ————————————————————— ZZZZIIIiiippppppp ! ———————dans le soleil.
Nous sommes des voyageurs, rien de plus quotidien ni d’éternel, chacun marche et marche sans répit, même dans son sommeil, même mort peut-être, en dedans au-dessous il marche encore, ou il nage c’est pareil ——————————————————— Le premier pic brillait, brillait repu de neige et d’air.
/
Depuis 3 jours ils font des tas de cailloux à intervalles réguliers sur la steppe pour égarer les suiveurs. Le bruit des plumes, mélangé à l’odeur, et leur orgueil de rien peuvent tuer.
Oh oui.
Je te regarde petite place que je quitte, j’ai été là, merci, je vais plus loin ————————————
Tout fut chargé en un clin d’oeil, les ballots écrasaient les 4 dernières voitures du convoi, ―à quoi ça sert, comment devenir léger, fait d’un seul trait pour le corps et la tête ?‖ pensait Emilio appuyé contre son âne.
Et au bâton il se dessine dans le sable, l’humide sable mort.
Tu penses à elle toujours tu y penses, ou bien non, parfois c’est
elle qui revient traîtreusement s’abat, l’insupportable et douce
divagation, ce n’est pas elle si peu rusé voyageur ! minus chevalier, c’est toi encore qui tournes et tournes sur tes pieds, avec ta lance, homme soûl, et transpercé.

DE LA MAIN GAUCHE, EXPLORATRICE (Flammarion, janvier 1999)

**************************

Je prends l’encre sous la lumière et je dis :
" Soyez l’oeil, l’oreille, la bouche, l’attentif
dans l’osier du ruisseau, dans l’âme de la mousse,
avec la feuille grillée au feu, dans l’air d’en haut. "
Mémoire du vieillir, des ratures, du qui suis-je !
Je le dis et l’inscris, et encore ceci :
" Soyez la poudre de la main, le baiser du voyageur,
le rosier du silence. Soyez divins du détail, dans la sculpture
ou le mot. Sur la photographie, dans le tableau, le chant,
dans la journée.
Soyez humains du presque rien patient et doué d’infini. "
36
Fille de Jeanne-Félicie,
Fille de Louis-Joseph,
Fille de France, celle-là
et aucune autre, pour ce temps-là
et sur cette terre,
parmi nous.
37
Il pleut des âmes tièdes, une poitrine de fleur.
Jeunes filles, ne perdez pas la trace sous les arbres,
attendrissez votre fourrure, laissez couler vos seins
sur la mousse, algues des profondeurs, guidez-moi.
38
Car l’Aventure commence là où l’escorte se fie à l’épaisseur
de la poussière sous la charrette, les yeux clos.

FILLE DE JEANNE-FELICIE
(DE LA MAIN GAUCHE, EXPLORATRICE - Flammarion, janvier 1999)

Jeudi 3 Avril 2008
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ANTHOLOGIES ET PUBLICATIONS COLLECTIVES

Revue Cités N°73,
Effraction/ diffraction/
mouvement,
la place du poète
dans la Cité,
mars 2018.

Pour avoir vu un soir
la beauté passer

Anthologie du Printemps
des poètes,
Castor Astral, 2019

La beauté, éphéméride
poétique pour chanter la vie
,
Anthologie
Editions Bruno Doucey, 2019.

Le désir aux couleurs du poème,
anthologie éd
Bruno Doucey 2020.







cb
22/11/2010

CLAUDE BER JUIN 2025


SIGNATURES LECTURES AU MARCHÉ DE LA POÉSIE 2025

Samedi 21 Juin 17h-18h stand 111B
Le Damier de vivre, texte Claude Ber, peintures Gérald Thupinier, Editions Tipaza 2025.

Dimanche 22 juin 16H-17h stand 111B
Le Damier de vivre, texte Claude Ber, peintures Gérald Thupinier, Editions Tipaza 2025.

NOUVELLES PARUTIONS

Le Damier de vivre, texte Claude Ber, peintures Gérald Thupinier, Editions Tipaza 2025.

Texte de Claude Ber dans Exister, Écrire, Résister, Académie des écrivain.es sur les droits humains, Presses universitaires de Strasbourg 2025.



EXPOSITION CORPUS MARSEILLE AU CIPM

TEXTE DE CLAUDE BER A L'EXPOSITION CORPUS MARSEILLE

CORPUS MARSEILLE
exposition, vernissage, lectures, projections
du jeudi 12 juin au samedi 6 septembre 2025,
inauguration de l’exposition le jeudi 12 juin de 18h à 21h

Centre international de poésie centre de la Vieille Charité
2, rue de la Charité13002 Marseille 04 91 91 26 45

Corpus Marseille présente les premiers résultats d’une exploration de la bibliothèque du Cipm à la recherche des apparitions de Marseille dans les livres qui composent ses collections. L’exposition propose un parcours sans chronologie ni typologie, privilégiant la dérive associative à travers les textes et les images.

• Marseille dans les collections de la bibliothèque du Cipm.

• Installation des textes inédits de :
Charles Pennequin, Pierre Drogi, Hugo Pernet, Julien Blaine, Paul de Brancion, Nicolas Tardy, Patrick Varetz, Gérard Cartier, Sandra Moussempès, Jean-François Puff, Barbara Dimopoulou, Michèle Metail, Gilles Weinzaepflen, Éric Watier, Stéphane Bérard, Florence Manlik, Dominique Quélen, Suzanne Doppelt, Éric Houser, Antoine Dufeu, Yves Boudier, Hélèna Villovitch, Démosthène Agrafiotis, (SNG) Natacha Guillier, Esther Salmona, Frédérique Guétat-Liviani, Pierre Guéry, Dorothée Volut, Liliane Giraudon, Mathieu Provansal, Nadine Agostini, Olivier Domerg, Véronique Vassiliou, John Deneuve, Christian Désagulier, Virginie Lalucq, Patricia Lavelle, Mathias Richard, Guillaume Richez, Nicolas Pesquès, Jean-Michel Espitallier, Claude Ber, Vincent Broqua, Cécile Sans, Claude Closky, Vincent Tholomé, Jean-Patrice Courtois, Didier Bourda, Sarah Kéryna, Nella Arambasin, Hélène Sanguinetti, Anne-Claire Hello, Collette Tron, Jean-Charles Depaule, Hélène Grimaud, Jean-Baptiste Cabaud, Stéphane Nowak Papantoniou, Jiwon Lee, Cia Rinne, Juliette Penblanc, Emma Cambier, Ioannis Chondros, Simon Johannin, Florence Pazzottu, Antoine Boute, Laura Guiliberti, Alessandro Bosetti, Frédéric Danos, Anne-James Chaton, etaïnn zwer, Arno Calleja, Vannina Maestri, Giovanni Fontana, Luc Desbenoit, Patrick Beaurard-Valdoye, Séverine Daucourt, Maxime Hortense Pascal, Joël Hubaut, Théo Casciani, Anne Houdy, Jean-Marie Gleize, Sophie Deshayes, David Christoffel, Christopher Alexander, Stéphane Lambion, Pierre Eugène, Pascal Poyet, Anne Calas, Sabrina Calvo, Christophe Fiat, Annabelle Verhaeghe, Linda Maria Baros

• Diffusion et projection d’un choix de films d’artistes (Santiago Reyes, Gilles Desplanques) et de cinéastes distribués par Light Cone (Valérie Jouve, Rose Lowder, David Wharry, Teo Hernández).

• Lectures surprises


PRIX VÉNUS KHOURY GHATA

Le jury du prix Vénus Khoury-Ghata a le plaisir d’annoncer que le prix 2025
a été décerné à Catherine Pont-Humbert
, pour son recueil Quand les mots ne tiennent
qu’à un fil
, paru en 2025 aux éditions La tête à l’envers.

La remise du prix aura lieu le Jeudi 19 juin 2025, au café de l’hôtel La Perle, 14, rue des Canettes, 75006, Paris, de 18H30 à 20H00.

Vénus Khoury-Ghata, Créatrice du prix Vénus Khoury-Ghata et membre d’honneur
Claude Ber, Présidente du jury
Pierre Brunel, Béatrice Bonhomme, Hélène Fresnel, membres du jury

INFORMATIONS INVITÉES Claudine BOHI et Adrienne ARTH

PARUTION ET SIGNATURE

Claudine BOHI et Adrienne ARTH
À tâtons dans le siècle, texte de Claudine BOHI, photographies Adrienne ARTH, avec une préface de Béatrice Bonhomme, Editions Les Lieux-Dits, collection Duo, 2025
Signature au Marché de la Poésie
Samedi 21 juin 16H-17H Stand 226
Dimanche 22 juin 15H-16H stand 226

en présence de Claudine BOHI, Adrienne ARTH et Béatrice BONHOMME

CB
12/06/2025